Ovins : demande contrastée au Moyen-Orient
Ovins : A 822 500 ovins, les exportations australiennes reculent de 1 % au premier semestre par rapport à la même période de 2016, selon MLA. Depuis que le gouvernement du Bahreïn a cessé de subventionner les importations australiennes d’ovins vifs l’an dernier, les envois ont cessé. En revanche, les envois en vif ont bondi de près d’un quart vers le Qatar, dont la demande est tirée par l’afflux de travailleurs étrangers pour les préparatifs de la coupe du monde de football en 2022. Dans le même temps, les envois de carcasses sont restés stables.
Vers Oman, les exportations d’ovins vifs ont atteint 66 200 têtes, soit une hausse de 51 %. Les variations sont moins marquées vers le Koweït (293 000 têtes, -2 %) et les Émirats arabes unis (56 000 têtes, +4 %).
Bovins : La fin des vacances et l’approche de la rentrée ont de nouveau contribué à dynamiser les ventes de vaches laitières sur les marchés en vif. Les jeunes bovins profitaient aussi de cet appel d’air, avec des cours stables à fermes. En vaches allaitantes, la tendance est plus hésitante.
Veau : Hausse saisonnière des naissances de petits veaux laitiers et mises en place qui vont progressivement correspondre à une période de demande en repli se conjuguent comme chaque année pour provoquer la baisse des cours des petits veaux laitiers.