Broutards : la Turquie a importé 1,21 million d'animaux en 2018
Broutards : Le marché du broutard est resté actif ces derniers jours. En plus des engraisseurs italiens, au rendez-vous, les acheteurs français qui cherchent des animaux de repousse pour la mise à l’herbe sont aussi aux achats, ce qui se traduit par une ambiance dynamique et des prix fermes.
À noter, l’Institut de l’élevage révèle que la Turquie a importé 1,21 million de broutards en 2018. C’est le double des chiffres de 2017. Les principaux fournisseurs étaient le Brésil (573 000 têtes, quatre fois plus qu’en 2017), l’Uruguay (414 000 têtes, +51 %), et l’Union européenne, notamment les pays de l’Est (187 000 têtes, +4 %). Malgré la crise financière qui frappe le pays, la Turquie a maintenu ses efforts d’importations de broutards dans un contexte de marché intérieur fortement déficitaire.
Veau : La stabilité, toujours la stabilité, la tendance du marché français du petit veau n’évolue pas, semaine après semaine. La demande export se tasse, les échanges sont plus limités, ce qui pèse sur l’ambiance commerciale, mais des sorties un peu plus limitées permettent aux cours de se maintenir. Les ventes restent compliquées en croisés, notamment pour les femelles.
Ovins : Les sorties de laitons continuent de se développer et ces animaux constituent dorénavant la majeure partie de l’offre. Pour les lots homogènes et de qualité, le commerce est facile et. les prix facilement maintenus. En brebis, marché fluide et peu évolutif dans une ambiance régulière.