Restauration rapide
Après la crise, KFC rouvre la vente à emporter
Depuis le 11 mai, KFC a remis en marche son service de vente à emporter après avoir adapté ses établissements pour garantir la sécurité de tous. L’offre de l’enseigne a été réduite pour faciliter la logistique et le travail des salariés.
Depuis le 11 mai, KFC a remis en marche son service de vente à emporter après avoir adapté ses établissements pour garantir la sécurité de tous. L’offre de l’enseigne a été réduite pour faciliter la logistique et le travail des salariés.
Alors que le déconfinement est en cours, l’enseigne de restauration rapide KFC a ouvert de nouveau 220 restaurants, soit 80 % de tous ses établissements français. Si les salles restent fermées, le drive et la livraison à domicile ont fonctionné de nouveau à partir du 23 mars. Depuis le 11 mai, l’enseigne a ouvert de nouveau son service de vente à emporter. « Des mesures particulières ont été mises en place pour relancer nos services et organiser ce canal, garantissant la sécurité de nos employés et de nos clients. Nous avons été accompagnés du cabinet Sprim sur le sujet, composé de médecins et d’experts en infectiologie », déclare Guillaume Saez, responsable de la communication de KFC France. Certains éléments mis en place pour permettre une vente à emporter en toute sécurité serviront lors de la réouverture des salles, tels que la mise à disposition de gel hydroalcoolique et d’écran de plexiglas entre le vendeur et le consommateur. « Il y a des formations organisées pour tous nos salariés sur les nouveaux gestes à opérer », précise Guillaume Saez.
Une offre réduite autour des produits phares
KFC France a décidé de réduire sa carte afin « d’éviter la complexité en cuisine, où le nombre d’employés est limité afin d’éviter tout croisement. Ce recentrement autour de nos produits phare nous permet aussi de simplifier la logistique : nous sommes moins livrés en cette période de crise », explique Guillaume Saez.
Nos approvisionnements en volaille n’ont pas changé
L’enseigne utilise notamment dans ses burgers des produits ultrafrais tels que de la salade et de la tomate qui ont de très courtes DLC, rendant leur conservation difficile. « Depuis la réouverture, nous avons ajouté deux références à notre carte. La machine économique se relance, chez nous comme chez nos fournisseurs. Par ailleurs, nos approvisionnements en volaille sont stables et n’ont pas changé, car ils sont essentiellement français et européens », souligne Guillaume Saez. Lors de la fermeture, KFC a fait don de tous ses produits périssables au réseau des Banques alimentaires, aboutissant à « très peu de pertes », selon Guillaume Saez.