Le Comté se réjouit d'être reconnu par le WWF et Greenpeace France
A la suite de la publication de l'étude de l'UFC-Que Choisir, WWF et Greenpeace, l'AOP Comté se réjouit d'être reconnue "comme l'une des plus en pointe en matière de "bénéfice environnemental et socioéconomique".
A la suite de la publication de l'étude de l'UFC-Que Choisir, WWF et Greenpeace, l'AOP Comté se réjouit d'être reconnue "comme l'une des plus en pointe en matière de "bénéfice environnemental et socioéconomique".
L'étude de l'UFC-Que Choisir, WWF et Greenepeace, rendu public le 28 septembre, fait parler d'elle. Les trois associations estiment que les labels alimentaires et signes de qualité doivent réviser leurs pratiques pour répondre davantage à leurs promesses.
En réaction, le Comté est au contraire satisfait des notes obtenues, par cette étude, "à la méthode particulièrement rigoureuse". "Cette étude classe les engagements de la filière Comté au même niveau que les démarches les plus exigeantes de l'agriculture biologique", se réjouit le Comité interprofessionnel de gestion du Comté (CIGC) dans un communiqué.
L’étude porte sur 11 démarches les plus emblématiques (Agriculture Biologique, Demeter, Bio Equitable en France, HVE, C’est qui le Parton, Agriconfiance, Label Rouge…) passées au crible selon 14 critères de durabilité répartis à parts égales entre l’environnement (biodiversité, qualité des sols, de l’eau, …) et les aspects socioéconomiques (conditions de travail, niveau de vie, cohésion sociale, …).
"Avec un score de 10 points sur un total de 12 possibles le Comté arrive en tête, au même niveau que la démarche Bio équitable en France", souligne l'organisme de défense et gestion du Comté.
L'étude met notamment en évidence les bénéfices de la filière Comté sur la qualité des sols, l’air et la biodiversité en matière environnementale, l’équité socio-économique, la cohésion sociale, le niveau de vie décent et la santé humaine.
" Ce résultat est un encouragement à aller plus loin dans nos engagements et en particulier à faire aboutir dans les meilleurs délais les propositions innovantes de notre cahier des charges en cours d’instruction à l’INAO » conclut Alain Mathieu, président du CIGC.