LES GROSSISTES SONT POUR LES FILIÈRES
Une table ronde sur « l'importance du dialogue filière » devait constituer le temps fort de la conférence organisée par la CGI (Confédération du commerce de gros et international) le 15 mars autour de la loi Macron.
Elle a eu lieu dans les locaux de l'Assemblée nationale sous le parrainage de Catherine Vautrin et en présence d'Annick Le Loch présidente de la commission d'examen des pratiques commerciales. Le commerce BtoB bénéficie après cette loi « pour la croissance de l'activité » d'un assouplissement spécifique du formalisme des relations commerciales (article L 441-7-1 du Code de commerce). La CGI estime le devoir à ses actions communes avec la Fédérations des industries mécaniques et celle des industries électriques et électroniques. « Au Salon de l'agriculture, nous avons pensé qu'il faudrait amplifier notre dialogue avec Coop de France et la FNSEA », rapporte Delphine Kosser-Gloriès, responsable des affaires économiques de la CGI. L'idée serait d'aboutir à des réalisations concrètes comme, avance-t-elle, des guides de bonnes pratiques des relations commerciales ou des propositions dans une éventuelle réforme de la LME. « L'enjeu que nous partageons est l'ancrage territorial », fait-elle savoir.
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