Des offres encore très mesurées

Légumes : Les volumes de chou-fleur breton demeurent très limités — 235 000 têtes, hier —, ce qui entretient la cherté des prix. De même, en endive, le manque de disponibilités dans les Hauts-de-France autorise de nouvelles hausses des prix. En poireau, le marché se montre plus hétérogène, selon les origines. Le regain de concurrence, interrégionale et/ou étrangère, tend à peser davantage sur les cours. La campagne de concombre est désormais quasiment terminée. Quelques derniers lots sont commercialisés, dans le sud de la France, subissant la pression espagnole.
Fruits : Les ventes de raisin sont limitées. L’offre, désormais essentiellement issue des frigos, est régulée en fonction du niveau de la demande. Les cours sont inchangés. Le commerce de la pomme est également plus calme. Les disponibilités sont encore peu étoffées, du fait du retard des récoltes, ce qui favorise la stabilité des prix. La campagne de noix sèche s’amorce tout juste, avec un léger retard de calendrier.