Volaille : Thaïlande, Ukraine et Chili plus présents en Europe
Volaille : Les importations européennes de viandes et préparations de volaille ont atteint 899 183 tonnes équivalent carcasse (téc) l’an dernier, selon Bruxelles. Elles ont dépassé de 2,8 % leur niveau de 2015, du fait d’un recours plus franc aux produits thaïlandais (+5,7 % à 289 461 téc), ukrainiens (+13 % à 48 039 téc) et chiliens (+29,9 % à 28 875 téc) et malgré le maintien des achats au Brésil (+0,3 % à 502 805 téc).
Œufs : Les récents chassés-croisés de vacanciers ont été synonymes mardi d’accalmie pour certains professionnels, mais de réassorts plus ou moins importants pour les autres. L’activité grossiste dépendait avant tout de la région considérée, tandis qu’en grande distribution, les échanges étaient fluides voire soutenus par des opérations de promotion, en particulier de calibre M. En parallèle, la production s’est avérée insuffisante en moyens et petits œufs, et plutôt bien adaptée aux besoins en L et XL. De quoi laisser les cours stables à baissiers.
En Espagne, la demande augmente pour une offre stable, les cours progressent. La hausse est plus modérée en Allemagne, le marché étant plus proche de l’équilibre. Le basculement d’une partie des œufs plein air en code 2 — du fait du confinement des poules pendant plus de 12 semaines — permet de compléter une offre mesurée et de satisfaire une demande intérieure régulière, sans plus.