Poule de réforme : offre surabondante
Comme la semaine précédente, les abattoirs se disaient surchargés vendredi dernier. Les plannings sont pleins pour le mois de mai et quasiment pour juin. Les éleveurs qui souhaitaient avancer leurs réformes au vu de la chute des cours des œufs peinaient à trouver preneurs et devaient faire d’importantes concessions tarifaires, parfois même prendre en charge les frais de transport. La fourchette de prix est restée assez large, dépendant en partie de la relation entre les acheteurs et les vendeurs. A la vente, aucune amélioration, les prix pratiqués en Afrique n’étaient toujours pas jugés rémunérateurs par les abattoirs français.
En poule de reproduction, l’offre restait large et il était difficile d’organiser les enlèvements car les abattoirs étaient déjà chargés en poules pondeuses.