Bovins maigres : dans le sillage des bovins finis
Gros bovins : La baisse des prix des gros bovins de boucherie se répercute sur les tarifs comme sur l’ambiance commerciale des bovins maigres. Les engraisseurs sont plus prudents et tendent à faire pression sur leurs prix d’achat. Si les vaches de qualité sont recherchées et s’écoulent à prix stables, les cours se replient pour la marchandise ordinaire.
En broutards, le commerce manque d’entrain depuis le début de la semaine. D’où des cours stables à baissiers dans l’ensemble. En laitonnes, la demande reste soutenue, l’offre se révèle à peine suffisante et les prix sont aisément reconduits voire revus à la hausse.
Veaux : Si la fluidité dominait les échanges en début de semaine, le marché des petits veaux laitiers semblent marquer le pas. La demande apparaît plus hésitante. Le tri est plus sélectif au détriment des sujets de moindre qualité. Cours stables à baissiers. En revanche, le commerce reste animé pour les veaux croisés, l’offre répondant tout juste aux besoins du moment. Les prix sont aisément reconduits à plus élevés selon la qualité considérée.
Ovins : L’arrivée de la fête de l’Aïd (prévue autour du 15 octobre) commence à soutenir la demande en agneaux lourds. L’offre n’étant pas pléthorique, les cours sont fermes. Dans le reste de la gamme, le commerce est régulier sans plus, et les prix stables à baissiers.