La filière porcine doit s'engager dans l’arrêt de la castration à vif

Il reste un an à la filière porcine française pour mettre un terme à la castration à vif des porcelets et ainsi se conformer à l’arrêté du 24 février 2020, rappelle Culture Viande. L’interprofession en appelle avec force à la responsabilité de chacun des maillons de la filière pour, au sein de son interprofession Inaporc, s’engager ensemble et sans retard à explorer toutes les pistes techniques, juridiques et économiques qui permettront, en accord avec les autorités sanitaires et vétérinaires, de poursuivre au 1er janvier 2022 la castration des animaux dans le cadre de la loi. « Les alternatives à la castration à vif existent », insiste Culture Viande, « mettons les en œuvre au plus vite et laissons à chacun la liberté de choisir le mode d’élevage qui lui convient ».