Volaille de chair : marché calme, prix reconduits
Œufs : Le marché français ne présentait pas de direction claire mardi. Bien plus calme chez les uns, le commerce restait tonique chez les autres, que ce soit en tout venant pour le conditionnement ou en calibré, et ce quel que soit le poids moyen considéré. Tout dépendait des débouchés et du niveau d’offres de chaque vendeur. Certains détaillants et une partie de la grande distribution ralentissaient leurs achats, quand d’autres les maintenaient, grâce notamment à la poursuite d’opérations de promotion. Différents comportements qui se répercutaient sur l’activité comme sur les besoins des grossistes et des centres de conditionnement. En parallèle, l’offre était à peine suffisante chez les uns, trop large chez les autres. A l’échelle nationale, le rapport offre/demande était assez proche de l’équilibre, d’où des cours qui s’ajustaient dans des fourchettes inchangées.
En Europe, si la consommation marque un peu le pas, l’offre n’est pas excessive, voire manque un peu en gros calibres et fin de ponte. Cours stables à haussiers.
Volaille : Ambiance calme sur le marché français. La seconde partie de mois freine la fréquentation des marchés, des volaillers et de la restauration. L’activité marque aussi le pas en grande distribution, mais dans une moindre mesure grâce à des promotions dans plusieurs enseignes, notamment en poulet (découpes, PAC), en découpes de dinde et de canard, mais aussi en lapin et pintade. L’offre étant suffisante, les cours sont majoritairement stables, voire se tassent légèrement en dinde.