Poule de réforme : un commerce de plus en plus ardu
La tendance des semaines passées s’est poursuivie. Les consommateurs achètent peu de viande de poule. L’offre en poules de batterie était ainsi cette semaine toujours supérieure à une demande très faible, rendant le commerce très difficile. La contribution demandée aux éleveurs qui participent aux coûts de transport est de plus en plus élevée. En outre, la grippe aviaire étant toujours présente en France, les marchés africains sont restés bloqués. Il ne devrait pas y avoir d’évolution notable dans les semaines à venir. Les marchés italien et espagnol sont dans une situation similaire.
Peu de changements non plus dans le commerce des poules de reproduction. Les cours sont proches de 0.