Poule de réforme : pas d’évolution
Pas d’évolution la semaine dernière en poules de batterie. Certains transporteurs demandent à présent aux éleveurs la totalité des coûts de transport. Les élevages établis dans le Sud et devant faire acheminer leurs poules jusqu’aux abattoirs bretons, à des coûts pouvant atteindre les 200 €/tonne, pâtissent d’autant plus de la situation du marché. L’ensemble des acteurs de la filière espère un regain d’activité en octobre, avec la préparation des fêtes de fin d’année et un potentiel déblocage du marché africain.
Du côté des poules de reproduction, le marché était similaire. Certains opérateurs font toutefois état d’une légère reprise des commandes, prémices d’une amélioration à venir.