Plus d’indices et de cotations
« Dans un souci de fluidification et de transparence des relations commerciales entre tous les maillons de la filière, il apparaît important de disposer davantage d’indices ou de cotations pour suivre l’évolution des prix de certains produits agroalimentaires utilisés comme matière première à des stades ultérieurs de la filière », est-il écrit dans le contrat de filière au volet « Relations au sein de la filière ». L’objectif : « fluidifier les négociations et le dialogue », à travers « des données ne souffrant d’aucune contestation ». FranceAgriMer, l’Insee, le ministère de l’Agriculture, les professionnels et interprofessions se réuniront au second semestre 2013 pour identifier « dans quelle mesure des données, indices ou cotations supplémentaires peuvent être établis ».