Les Siqo doivent mieux communiquer sur leurs atouts
Les organismes de défense et de gestion (ODG) ou les professionnels des filières agroalimentaires s’impliquent encore peu dans des études d’impact des productions sous signes d’origine par rapport aux dimensions économiques, environnementales et sociales d’un territoire et communiquent mal sur les atouts de leurs productions. C’est en substances ce que conclut un récent rapport de mission du CGAAER. Or les productions sous Siqo doivent se positionner dans un contexte évolutif qui voit se développer d’une part les démarches de produits locaux ou « régionaux », à l’initiative des collectivités territoriales, d’autre part les démarches de certification environnementale. « C’est pourquoi est évoqué, pour les produits sous signe d’origine, la nécessité de les promouvoir comme des produits « Local Plus » mettant en avant leur caractère non délocalisable et contrôlé, ainsi que les liens environnementaux, économiques et sociaux qu’ils entretiennent avec leur territoire », conclut la mission.