Les poulets du Gers retournent sur France Inter
Il y a douze ans, ils furent les premiers, en agroalimentaire, à parrainer une émission de radio, en l’occurrence la météo, sur France Inter. Après un break d’un an, en 2003, pour se consacrer à la télé, avec six films de dix secondes diffusés aux heures de grande écoute sur TF1 et M6, les poulets de Gers font leur « come-back » à la radio. « Nous ne regrettons pas d’avoir fait de la télé, car cela nous a permis de passer à 40 % de notoriété et de nous placer en deuxième position dans la catégorie des poulets fermiers,confie Pierre Buffo, le directeur d’Avigers, association avicole du Gers. En revanche, nous avons souhaité revenir sur France Inter, car c’est sur ce média que nous avons fait toute notre notoriété et que nous obtenons le meilleur rapport qualité/prix. » Les volailles fermières auront ainsi droit à 360 citations, tout au long du mois de février.
Cette campagne nationale sera complétée par une communication intensive sur la moitié sud de la France. Les spots télé de l’année dernière seront repris sur France 3 Aquitaine, Sud, Méditerranée et Rhône-Alpes, du 1er mars au 13 juin, et passeront au total 105 fois. « Avec France 3, nous avons joué la durée et la présence quotidienne, afin d’établir une véritable liaison entre notre notoriété et la distribution des produits en rayon», poursuit Pierre Buffo. Objectif affiché : plus de 150 millions de contacts sur la « cible ménagères ». Des opérations d’animation des linéaires, fortement identifiées « Gers », seront par ailleurs organisées pour stimuler l’achat et le réachat, et faire découvrir l’ensemble de la gamme. Enfin, pendant le Salon de l’Agriculture, une désormais traditionnelle campagne d’affichage aura lieu dans le métro parisien.
Le budget communication d’Avigers est cette année de 610 000 euros. « Ce qui est à peu près équivalent à l’année dernière, précise Pierre Buffo. Je suis de plus en plus convaincu que, si on ne communique pas, on passe vite. Aujourd’hui, notre campagne publicitaire nous permet de maintenir notre niveau de notoriété.»