Le volailler Doux veut boucler son plan de relance avant fin 2017
Le volailler Doux, en difficultés financières, veut « avancer vite » et trouver d'ici à la fin de l'année les 100 millions d'euros nécessaires au financement de son plan de relance, a indiqué le groupe à l'AFP. « Il y a nécessité d'avancer vite (...), de réunir les conditions de mise en œuvre du plan stratégique au maximum avant la fin de l'année », a souligné Christophe Couroussé, président du directoire de Doux, dans un entretien à l'AFP. Confronté à la concurrence des producteurs brésiliens, le volailler français entend sous-traiter sa production d'entrée de gamme dans un pays d'Europe de l'Est à bas coût et monter en gamme sur ses produits fabriqués en France. Pour l'entrée de gamme, « on a identifié un partenaire potentiel, les discussions sont en cours mais elles ne sont pas finalisées », a indiqué le dirigeant. Pour trouver les 100 millions d’euros nécessaires au financement du plan, « plusieurs modalités sont à l'étude. C'est trop tôt pour que j'en cite une. Le plan n'est pas arrêté », affirme le président du directoire.