Cheval : prix faibles à Maurs
À la foire aux chevaux de Maurs (Cantal), il y a deux semaines, 1 000 bêtes ont trouvé preneurs, mais les cours sont restés bien bas, rapporte L’Union du Cantal. Pourtant, les acheteurs étaient bien présents, indiquent nos confrères. Comme toujours, l’Italie était largement représentée. « Ils sont venus, mais ils avaient des ordres », remarque Gilbert Figeac, président du comité des foires chevalines. « On a bien ressenti qu’ils n’avaient pas la moelle acheteuse. On peut supposer une baisse significative de la consommation de viande chevaline. » Inquiétant, quand on sait que le marché français est devenu très marginal et que les ventes reposent huit fois sur dix sur le marché transalpin et, dans une moindre mesure, espagnol.