Foie gras, bien-être : la filière répond à L214
Le comité interprofessionnel du foie gras (Cifog) communique en réponse à une nouvelle « campagne de désinformation » de détracteurs de la pratique du gavage.
Le comité interprofessionnel du foie gras (Cifog) communique en réponse à une nouvelle « campagne de désinformation » de détracteurs de la pratique du gavage.
Le "geste précis et délicat" du gavage, selon le Cifog, dans les parcs collectifs réglementaires, lors de portes ouvertes aux journées du patrimoine.
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SC
En réponse à des images anxiogènes diffusées par L214 pour critiquer la pratique du gavage, les professionnels de l’engraissement et fabricants de foie gras diffusent un communiqué rétablissant la vérité sur l’élevage des palmipèdes à foie gras, des espèces à part.
- L’engraissement des mâles et femelles reproduit le même phénomène naturel d’engraissement des palmipèdes migrateurs. Les oies et canards (Mulard en élevage) ont un œsophage élastique, leur permettant d’avaler de grosses proies. Ils sont habitués à stocker du gras pour la migration.
- Les palmipèdes passent 90 % de la vie en plein air. L’engraissement se déroule sur une dizaine de jours, avec deux repas par jour.
- Le gavage est réversible : si l’on cesse l’engraissement, le foie revient à son poids de départ en quelques jours.
- L’engraissement « résulte d’un geste précis et délicat ». L’alimentation assistée manuelle se fait à l’aide d’un embuc adapté à l’anatomie de l’animal. Ce geste ne dure que 4 secondes.
