Franz Fischler
Franz Fischler semble éprouver un malin plaisir à prendre les dirigeants européens en flagrant délit d’hypocrisie lorsqu’ils critiquent les négociations menées par les commissaires européens. Dernier exemple, sa déclaration, en marge des discussions en cours à Guadalajara entre les négociateurs des deux blocs : « Le fait que la Commission doive déposer une offre a été décidé il y plus d’un an par les chefs d’Etat et de gouvernement et la date limite avait été fixée au 15 avril, ce qui fait que nous sommes plutôt en retard », leur a-t-il asséné.