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Synergies réussies pour les salons des vins en Val de Loire

Les 6 et 7 mars, le salon Levée de la Loire réunissait à Saumur 260 exposants dont le tiers hors Loire. Il était coordonné avec le salon Demeter, qui accueillait 100 exposants.
Les 6 et 7 mars, le salon Levée de la Loire réunissait à Saumur 260 exposants dont le tiers hors Loire. Il était coordonné avec le salon Demeter, qui accueillait 100 exposants.
© Gaellebcphotographe

Plusieurs fois bouleversée par la crise sanitaire, l’offre des salons professionnels en Val de Loire pourrait évoluer plus durablement. Organisé par l'association Loirevinbio, le salon Levée de la Loire s’est transporté cette année d’Angers à Saumur, les 6 et 7 mars, avec le salon Demeter. Il se montre très satisfait de la synergie nouée avec La Dive Bouteille, l’événement saumurois des vins nature. Il annonce entre 2 500 et 3 000 visiteurs dont 40 % en commun avec la Dive Bouteille, qui revendique 4 500 visiteurs. Sébastien David, vigneron et président de Loirevinbio, juge les chiffres très satisfaisants pour « un millésime de redémarrage » même s’il indique une baisse à 15 à 20 % attribuable au moindre visitorat étranger.

Valoriser la dimension internationale

Si cette année, le salon des Vins de Loire d’Angers n’a pas eu lieu physiquement, le salon angevin Saint-Jean (vins en bio et biodynamie) s’est, lui, tenu les 5 et 6 mars. Il a accueilli 2 900 visiteurs. "C'est 30 % de moins qu’en 2020, mais tout le monde était heureux de renouer avec le présentiel, souligne Mark Angeli, l'un des organisateurs. On ne pouvait faire mieux cette année que de montrer l’esprit collectif qui règne entre les différents salons". Que se passera-t-il en 2023 ? "En tout état de cause, nous resterons à Angers dans nos salles adorées !", prédit le vigneron.

« Nous allons parler tous ensemble, avec aussi l’interprofession, la région... », indique Sébastien David. Au-delà de la localisation, la question du financement est également sur le tapis. Le vigneron pointe le soutien institutionnel « au grand export via les grands salons de Paris et de Düsseldorf mais 15 % de notre visitorat c’est du grand export », souligne-t-il.

Côté planning, un principe restera intangible : se caler une semaine après le salon de Montpellier Millésime bio.

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