Œufs : une offre qui manque à l’appel
Pas de changement de tendance en ce début de semaine. La demande française en œufs calibrés comme en œufs tout venant pour le conditionnement demeurait intéressée. À noter toutefois que les commandes variaient en fonction des débouchés et des régions. La demande de la grande distribution pour les œufs de consommation se montrait très tonique. Selon Nielsen, durant la semaine du 24 février au 1er mars, les ventes des œufs en GMS ont progressé de 11 %. En revanche, la restauration commerciale semblait être quant à elle moins aux achats en raison d’un ralentissement du commerce en lien avec la psychose autour du coronavirus. Pour autant, dans l’ensemble, les besoins du moment dépassaient largement l’offre. La marchandise demeurait toujours très limitée notamment en raison des réformes. Beaucoup d’opérateurs peinaient à couvrir les commandes demandées. Dans ce contexte les cours continuaient leurs progressions.