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Décarbonation de la filière porcine : Sanders a des solutions
Sanders s’engage pour la décarbonation de l’élevage porcin. La filière porcine française fait face à un défi majeur : réduire son empreinte carbone tout en maintenant sa performance économique. Dans ce contexte, Sanders, acteur majeur de l’alimentation animale, accompagne la transition des éleveurs.
Sanders s’engage pour la décarbonation de l’élevage porcin. La filière porcine française fait face à un défi majeur : réduire son empreinte carbone tout en maintenant sa performance économique. Dans ce contexte, Sanders, acteur majeur de l’alimentation animale, accompagne la transition des éleveurs.

Une baisse de 25 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) sur vingt ans : telle est la stratégie ambitieuse de la filière porcine (interprofession Inaporc). Sanders s’inscrit dans cette démarche et propose une stratégie de décarbonation spécifiquement conçue pour l’élevage porcin. Sanders, le spécialiste de l’alimentation voit même plus loin et espère dépasser cet objectif.

« Sanders déploie une ambition RSE forte et engagée dans l’innovation. L’ensemble des actions menées chez Sanders doit permettre de réduire de 30 % les émissions de gaz à e et de serre d’ici 2030 (scope 1 et 2*). L’enjeu est également de maintenir la rentabilité des exploitations et d’anticiper les contraintes IED en 2030 », insiste Sophie Thouenon, directrice RSE Sanders.
Performer pour décarboner ?
En moyenne, un porc charcutier émet 2,72 kg éq. CO2/kg vif selon l’Ifip. L’alimentation des animaux (qui représente 45 % des émissions) et la gestion des effluents sont les principales sources d’émissions de carbone dans l’élevage porcin. Le premier enjeu est logiquement de réduire l’indice de consommation 30-115 kg. Une baisse de 0,06 de l’indice représente une baisse jusqu’à 2,2 % éq. CO2/kg vif et un gain de 9 300 euros par an de coût alimentaire pour un élevage de 250 truies-6 500 porcs. Le deuxième axe consiste à limiter les pertes en engraissement. Avec une baisse de 2 %, l’élevage gagne jusqu’à 1,3 % éq. CO2/kg vif, soit un gain économique de plus de 18 000 euros par an.
Voir aussi : https://demain.sanders.fr/
Du nouveau sur les aliments engraissement Sanders
Dès 2025, Sanders propose une évolution de tous les programmes charcutiers complets et complémentaires. La nouvelle formulation et l’intégration de probiotiques permettront pour un élevage moyen (250 truies-6 500 porcs), des gains de 2,50 euros par porc et une économie de 12 tonnes éq. CO2/an. « Alimenter ses porcs avec Sanders et intégrer des bonnes pratiques de décarbonation permet donc un gain de 20 000 euros par an et - 8% d’émission carbone. Notre accompagnement nutritionnel, technique et sanitaire aidera les éleveurs à performer toujours plus », résume Romain Poyac, responsable porc chez Sanders.

LE PLUS SANDERS
Les techniciens Sanders accompagnent les éleveurs pour piloter leurs décisions grâce à un outil technique appelé KINTAPLAN pour maximiser les gains économiques en :
• estimant l’optimum de poids de vente des porcs ;
• améliorant leur programme alimentaire.
Sanders va plus loin et innove pour un avenir bas carbone
Sanders poursuit aussi son travail de recherche & développement et annonce le développement d’un nouvel aliment visant une réduction de 10 % des GES par tonne d’aliment dès 2025. L’ambition est d’atteindre - 30 % à l’horizon 2030. Cette innovation repose sur une formulation optimisée incluant des probiotiques, une utilisation raisonnée du soja et une valorisation optimale de la protéine française
* Le scope 1 regroupe les émissions directes contrôlées par une entreprise. Le scope 2 est lié aux activités de l’entreprise mais regroupe les émissions de carbone non contrôlées par elle, par exemple la sous-traitance.
Une baisse de 3,5 % des émissions de carbone sur l’exploitation

Guillaume Giret, SARL du Village en Mayenne L’éleveur s’appuie sur l’expertise de Sanders et un accompagnement personnalisé. Cette stratégie a engendré une amélioration des performances et donc une baisse d’émission de carbone de 3,5 % sur son exploitation. « Depuis trois ans, nous travaillons avec notre technicienne Sanders sur les gains techniques possibles dans l’élevage. Le passage en gamme TEC en deuxième âge nous a
permis d’améliorer le poids de sortie PS, et la modification des plans d’alimentation un gain de 0,2 point d’IC en engraissement. » Sanders se positionne en partenaire des éleveurs dans leur transition vers une production performante et plus durable. L’avenir de l’élevage porcin français se dessine ainsi sous le signe de la décarbonation, sans compromis sur la rentabilité.