Le prix de l’agneau augmente et la consommation décroît avec des achats en berne par nos concitoyens. La tendance est observée dans les autres filières viande, à l’exception de la volaille.
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La barre des 10 euros du kilo d’agneau entrée abattoir est dépassée en cette fin d’année. La demande du marché s’amplifie tandis que l’offre peine à se maintenir.
Après trois années de forte hausse sur les charges des élevages ovins lait, l’Ipampa affiche une tendance baissière.
La baisse de la collecte de lait de brebis entraîne un repli des fabrications de fromages, à l'exception du fromage à salade. En cause principalement, le pouvoir d'achat des consommateurs toujours en berne.
Les parcelles de pâturage destinées aux vaches peuvent très bien accueillir des brebis durant l’hiver. Les avantages sont nombreux et tendent à être quantifiés grâce à une étude en cours au Ciirpo.
Avec un début de campagne en retrait par rapport aux années précédentes, la collecte de lait de brebis n’a pas réussi à rattraper le retard pour 2023-2024.
Avec 25 % d’export en moins vers la Chine, la Nouvelle-Zélande doit augmenter ses envois vers les autres États pour maintenir l’équilibre.
Finir des agneaux en hiver sur les couverts végétaux sans apport de concentré est possible. Le coût de la ration est de l’ordre de cinq à dix euros par agneau. Cette pratique présente toutefois les inconvénients de la conduite des agneaux d’herbe.
Avec le recul des envois de viande ovine britannique et irlandaise sur le marché français, celui-ci est attractif car en manque d’offre.