En Mayenne
Un maillon court qui connecte les agriculteurs à la restauration collective
Cela se prononce maillon court et s'écrit m@Yon court. Dans une demande grandissante de « manger mieux, manger équilibré, manger de saison, manger durable », la plateforme logistique équitable créée dans le département de la Mayenne peut donner des idées. Il s'agit d'une interface commerciale et relationnelle entre les producteurs, les transformateurs et la restauration.
Cela se prononce maillon court et s'écrit m@Yon court. Dans une demande grandissante de « manger mieux, manger équilibré, manger de saison, manger durable », la plateforme logistique équitable créée dans le département de la Mayenne peut donner des idées. Il s'agit d'une interface commerciale et relationnelle entre les producteurs, les transformateurs et la restauration.
C’est une initiative du département de la Mayenne qui mérite d’être saluée. « M@Yon court permet aux agriculteurs mayennais de distribuer leurs produits sur tout le département et aux cuisiniers d’avoir accès à un éventail de produits plus importants », c’est ainsi que les acteurs du projet présentent leurs activités sur leur site. En 2018, la petite entreprise a fait partie des lauréats du Programme national pour l’alimentation (PNA), observe Agri 53. La plateforme est une interface commerciale et relationnelle entre les producteurs, les transformateurs et la restauration. Avec des prix qui seront « équitables et justes », promet Élisabeth de Vitton, à l’initiative de la démarche.
La plateforme est actuellement en phase test avec quelques producteurs volontaires. Une réunion de présentation s’est tenue le 22 janvier devant des éleveurs, des cuisiniers, des élus et des techniciens de Chambre. Pour Gaëlle Bouchon, du pôle Alimentation de la Draaf (Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt), il s’agit là d’une « réponse aux demandes sociétales fortes : manger mieux, manger équilibré, manger de saison, manger durable… », rapporte le journal mayennais.
L'intégralité de l'article est à lire dans Agri 53.