Arrêt de la castration à vif des porcelets : L’anesthésie générale à nouveau à l’étude
Le conseil d’administration d’Inaporc a demandé à rouvrir le dossier de l’anesthésie générale, a indiqué son nouveau président, confirmant une information de l’Association pour le bien-être porcin présidée par Jean-Jacques Riou. Une décision réclamée par les filières du sud, précise-t-il, qui ont besoin de porcs castrés pour la fabrication de charcuterie sèche. Pratiquée dans un caisson à l’aide d’un gaz (isoflurane), cette solution a été « mise de côté » dans un premier temps, faute d’autorisation de mise sur le marché pour l’isoflurane, et parce qu’elle nécessite la présence d’un vétérinaire. « Si le dossier va au bout, ce ne sera qu’à moyen ou long terme », nuance Thierry Meyer.