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Les moutons au cœur de l’Aïd el Kébir

Le 20 juillet débute une des plus importantes fêtes du calendrier musulman. La tradition veut que les croyants sacrifient un mouton et le partagent avec leurs proches et les plus démunis.

19 abattoirs temporaires sont identifiés par les pouvoirs publics.
© A. Villette

Quatre jours de festivités religieuses, de partage et de solidarité. Ce sont les valeurs véhiculées par l’Aïd el Kébir (ou Aïd al Adha, ou Tabaski en Afrique de l’Ouest et Centrale). Pour la « fête du sacrifice », il est d’usage de sacrifier un mouton, en signe de soumission des hommes à Dieu. C’est donc un évènement attendu par les éleveurs ovins français qui misent beaucoup sur la communauté musulmane de France.

L’Etat a par ailleurs mis en place comme chaque année une liste de 19 abattoirs temporaires afin de procéder dans le respect de l’hygiène, de l’environnement et du bien-être animal au sacrifice des animaux. Les pouvoirs publics rappellent l’importance d’effectuer cette opération dans de bonnes conditions. Le recours à l’abattage illégal est passible d’une amende de 15 000 euros et de six mois de prison.

Lire aussi : L’Aïd-el-Kébir se réinvente avec des drives ou des commandes groupées

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