La ministre Jacqueline Gourault veut revitaliser les territoires autour de « petites villes de demain »
« Vous avez été des précurseurs avec des programmes ambitieux », a dit la ministre Jacqueline Gourault aux élus du Cantal. Il était donc bien naturel qu’elle choisisse ce département rural pour venir prendre la température de la revitalisation des territoires et y présenter son futur plan « petites villes de demain ».
« Vous avez été des précurseurs avec des programmes ambitieux », a dit la ministre Jacqueline Gourault aux élus du Cantal. Il était donc bien naturel qu’elle choisisse ce département rural pour venir prendre la température de la revitalisation des territoires et y présenter son futur plan « petites villes de demain ».
Nom de code ORT, comme Opération de revitalisation du territoire. Dans le Cantal, cette opération a fait l’objet d’une signature le 19 décembre. Et c’est pour en prendre toute la mesure que Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les collectivités locales, a fait le déplacement dans ce département le 7 février. L’ORT est soutenue financièrement par l’Etat et « se déroule selon six axes », énonce l’Union du Cantal : « développement économique, développement durable, patrimoine, services publics, culture du lien social, rénovation de l’habitat.
Un plan « petites villes de demain »
La ministre a visité le centre historique de Saint-Flour, « dont les aménagements sont prioritaires dans le cadre de cette ORT » et salué l’opération. C’est de ce département d’Auvergne qu’elle a annoncé également la mise en place d’un plan « petites villes de demain » qui sera finalisé dans les prochains mois, après les municipales. Saint-Flour pourrait être candidate à ce plan, estime-telle.
Au programme de la journée également : inauguration de la Maison France Service (MFS) à Murat ainsi qu’à Maurs, visite du fablab et de l’espace de co-working « Cocotte numérique » à Murat.
Lors de cette journée, Jacqueline Gourault a signé également la convention départementale France services, un label synonyme de « progression qualitative des services », indique l’Union du Cantal. Elle a ainsi souligné que l’État apporte « 30 000 € par an pour le fonctionnement » de chaque MFS. « Un État qui, a-t-elle rappelé, a labellisé à ce jour près 460 MFS et leur consacrera une enveloppe de 18,5 M€ annuels », ajoute le journal cantalien.
Lire l’intégralité de l’article « Opération revitalisation du territoire et maisons France services au programme de la ministre » dans l’Union du Cantal.