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Pressage et enrubannage, deux clés de la réussite du fourrage

Nombreux sont les constructeurs sur le marché à proposer des presses à balles rondes. Chaque technologie relève d’un usage spécifique.

© Aurélie Pasquelin

L’épopée du round-baller date du début des années 80 avec une offre qui se cantonnait autour trois ou quatre constructeurs principaux qu’étaient, Rivierre Casalis, New Holland, John Deere ou encore Hesston… En un peu plus de 35 ans, le nombre de constructeurs à proposer du round-baller s’est considérablement élargi avec, aujourd’hui, une vingtaine de marques présentes sur le marché. Chacune propose des techniques qui améliorent la densité des bottes, la vitesse de travail ou la capacité à presser du vert. En fonction de ses besoins, l’utilisateur n’aura que l’embarras du choix, ceci dans une fourchette de prix qui peut vite varier du simple au double, mais qui reste à moins de 30 000 euros pour les premiers modèles.

« Mieux travailler l’herbe »
Les premiers round-ballers remplaçaient les presses à moyenne densité et l’utilisateur trouvait là un gain de productivité et de pénibilité énorme, mais ces matériels étaient tous conçus pour presser du foin sec. L’ensilage d’herbe restait la technique de récolte de la première coupe. Les chantiers d’ensilage s’effectuaient en groupe, entrepreneur ou Cuma pour l’ensileuse et avec l’aide des voisins pour le transport. Même si cette organisation existe encore largement, l’enrubannage est de plus en plus présent dans le mode de récolte des premières coupes et regains.

 

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1458, du 3 mai 2018, en page 10.

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