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Des fruits et légumes à portée de main et transformés

Aurélia Étienne a créé son activité de salariée au sein d’une Scop, en Ardèche. Elle regroupe les métiers de l’agriculture et de l’environnement. Elle valorise les fruits non récoltés.

Aurélia Étienne valorise les fruits non récoltés depuis 2015.
Aurélia Étienne valorise les fruits non récoltés depuis 2015.
© Pierre-Louis Berger

Aurélia Étienne ne manque pas d’idées. Ingénieur agronome de formation à Cergy-Pontoise, elle s’intéresse très tôt aux problèmes humanitaires et agricoles. « Auparavant, j’étais salariée dans le domaine agricole : j’accompagnais des projets agricoles et ruraux dans des associations et en ONG. J’ai vécu quinze ans dans des pays du Sud, dans des endroits où la nourriture est précieuse et parfois rare. Je me suis toujours sentie proche de la nature et des gens qui cultivent la terre. Je cultive des jardins potagers depuis que j’ai 18 ans. J’expérimente, depuis de nombreuses années, différentes recettes et conserves de fruits et légumes. À mon retour en France, en 2007, j’ai été interpellée par la quantité et la diversité de fruits qui n’étaient pas récoltés, que ce soit chez des particuliers, à l’état sauvage ou chez des agriculteurs. C’était un non-sens ».
En 2015, Aurélia Étienne décide de changer de vie professionnelle. Elle s’installe en Ardèche du sud, à Vals-les-Bains. Elle crée, en juillet 2015, son activité qu’elle baptise « À portée de mains ». Elle choisit le statut de Scop. Elle est salariée de la Scop « Natura Scop » qui regroupe les métiers de l’agriculture et de l’environnement.

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1475, du 13 septembre 2018, en page 4.

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