[VIDEO] « Avec notre coopérative : de nouvelles filières pour valoriser nos agneaux »
Émilie Macé est éleveuse de brebis, à Beuzeville, dans l’Eure. Elle a repris le troupeau de son père double actif. Avec un défi : vivre à 100 % de l‘élevage. Pour y parvenir, l’agricultrice s’appuie sur les filières proposées par sa coopérative.
Émilie Macé est éleveuse de brebis, à Beuzeville, dans l’Eure. Elle a repris le troupeau de son père double actif. Avec un défi : vivre à 100 % de l‘élevage. Pour y parvenir, l’agricultrice s’appuie sur les filières proposées par sa coopérative.
Émilie Macé a grandi avec les moutons. Très jeune, son père lui laissait gérer la bergerie. Professeur, et donc double actif, a sélectionné la génétique de sa troupe au fil des années. « J’ai rapidement pu être responsabilisée. Le mouton est un animal facile et permet aux enfants de participer aux travaux agricoles. Aujourd’hui, mon fils et ma fille m’accompagnent souvent sur l’exploitation » témoigne l’éleveuse.
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Une filière label rouge pour répondre à la demande des consommateurs
Si la passion du mouton et le patrimoine génétique de la troupe ont poussé Émilie Macé à s’installer, l’agricultrice a relevé le défi de vivre avec 310 brebis Texel. Pour commercialiser ses agneaux, elle s’appuie sur sa coopérative. « C’est un gage de sérénité. En ce moment, nous essayons de créer une valorisation en label rouge. C’est intéressant de réfléchir en commun des filières pour répondre à la demande des consommateurs ».
« J’élève 310 brebis Texel. C’est un animal très calme qui me correspond bien. Cette race rustique s’adapte également très bien à mon système basé sur le pâturage ».
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