Télévision
Sophie-Elodie, maraîchère candidate à « L’Amour est dans le pré »
Karine Le Marchand a rechaussé ses bottes et « L’Amour est dans le pré » est reparti pour un tour. Le très médiatique show télévisé a démarré le 2 septembre sur M6. L'Agriculteur normand dresse le portrait d'une des candidates : Sophie-Elodie. La maraîchère du Calvados dévoile son parcours de femme battante et revient sur cette expérience suggérée au départ par des amis.
Karine Le Marchand a rechaussé ses bottes et « L’Amour est dans le pré » est reparti pour un tour. Le très médiatique show télévisé a démarré le 2 septembre sur M6. L'Agriculteur normand dresse le portrait d'une des candidates : Sophie-Elodie. La maraîchère du Calvados dévoile son parcours de femme battante et revient sur cette expérience suggérée au départ par des amis.
C’est reparti pour une nouvelle saison de « L’Amour est dans le pré ». La 14e. Ce 2 septembre, sur M6, Karine Le Marchand a présenté les candidats. Tous ont ouvert leur abondant courrier et les premiers speed-dating ont démarré.
Au nombre des candidats, cette année : Sophie-Elodie, maraîchère à Cintheaux, près de Falaise, dans le Calvados. A 36 ans, la jeune exploitante agricole est aujourd’hui aux commandes de la ferme familiale. Pourtant, au départ, sa carrière ne se dessinait pas dans l’agriculture. Designer graphique, elle avait fondé son agence de communication. Mais à 26 ans, sa vie a pris un autre tournant. C’est ce parcours qu’elle raconte dans l’Agriculteur normand.
Elle évoque aussi les raisons qui l’ont poussée à participer au grand show télévisé. « En réalité ce n’est pas ma démarche, mais celle de mes amis. Ils m’ont poussé à le faire, car ils trouvent que je suis faite pour cette émission et que je suis une bonne communicante », a-t-elle confié à Estelle Désillière.
« Les bons légumes de Sophie » sont vendus en vente directe et certains de ses clients ont été surpris. « Ils ne pensaient pas que… ». Désormais, évidemment, une partie de sa clientèle veut tout savoir. « Mais je ne peux rien leur dire. Il faut regarder M6 pour suivre mon aventure, » conseille-t-elle dans l’Agriculteur normand.
Et même si les garçons choisis à l’issue du speed-dating sont arrivés en plein rush, le premier week-end de la cueillette des asperges, elle a bien joué le jeu. « À cette période, nous faisions de grosses journées, c’était compliqué à gérer. Mais j’ai tout de même réussi à dégager du temps pour apprendre à connaître mes prétendants », explique-t-elle au journal.
Loin des plateaux de télé, la jeune femme a repris le chemin des champs et de la boutique. Pour elle, « c’était une belle expérience, très enrichissante ». Et d’ajouter : « J’ai noué des liens forts avec les autres agriculteurs de la saison ainsi qu’avec les membres des équipes techniques de l’émission. » Mais pas un mot sur d’éventuels autres liens…