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[Vidéo] Simon de Boisgelin s'est lancé dans le plantes aromatiques grâce à sa coopérative
A 34 ans, Simon de Boisgelin cultive des plantes aromatiques dans le Var depuis déjà 14 ans. Pour cette production, il est adhérent de la coopérative Les aromates de Provence. C’est avec le thym qu’il a démarré ces cultures sous contrat. Témoignage vidéo d’un jeune exploitant qui a le sourire.
A 34 ans, Simon de Boisgelin cultive des plantes aromatiques dans le Var depuis déjà 14 ans. Pour cette production, il est adhérent de la coopérative Les aromates de Provence. C’est avec le thym qu’il a démarré ces cultures sous contrat. Témoignage vidéo d’un jeune exploitant qui a le sourire.
C’est en 2007, à 20 ans, que Simon de Boisgelin s’est lancé dans la culture des plantes aromatiques. Ce sont elles qui lui ont permis de s’installer avec son père parce qu’elles apportaient une valeur ajoutée. Sur l’exploitation agricole de Saint-Martin de Palières dans le Var, Simon cultive aussi du fourrage, des lavandins et des grandes cultures.
Bonne valeur ajoutée
Les plantes aromatiques sont cultivées sous contrat avec la coopérative Les aromates de Provence. « Ce sont des plantes que j’apprécie beaucoup, » témoigne le jeune exploitant. « Ce sont des plantes de la région et c’est ici qu’elles expriment tout le potentiel qualitatif ».
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Des plantes de la Provence cultivées « au cœur de la Provence ». C’est un gage de réussite mais ça ne suffit pas. Pour se lancer, il faut investir dans du matériel. Ensuite, à chaque étape, de la culture au champ à la récolte, mais aussi au moment du séchage, « il faut un grand savoir-faire technique » assure Simon. C’est ce qui permet de « garder toute la qualité du produit ».
Savoir faire technique
Pour la plantation et le suivi de la culture, le producteur est accompagné par sa coopérative. Pour le séchage et la récolte, il est accompagné par l’institut technique.
A 34 ans, Simon se souvient de ses débuts. Il a démarré avec le thym et c’est avec cette plante fer de lance de la coopérative qu’il a adhéré à la structure. 14 ans après, c’est avec le sourire qu’il en parle.
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