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Un indice de consommation global de 2,73 chez les éleveurs de mâles entiers de la Cooperl

La consommation quotidienne moyenne d'aliment est légèrement inférieure à la moyenne bretonne en élevage de mâles entiers.
La consommation quotidienne moyenne d'aliment est légèrement inférieure à la moyenne bretonne en élevage de mâles entiers.
© C. Gérard

Avec un indice de consommation global de 2,73 au premier semestre 2014, les 368 producteurs « porc bien-être » référencés par la Cooperl en gestion technico-économique (GTE) sont à 0,1 point au-dessous de la moyenne GTE naisseurs-engraisseurs Ifip en Bretagne. « Les 25 % meilleurs sont à 2,57, et les 10 % meilleurs (36 élevages) à 2,52 », se félicite Edouard Marcault. Selon Patrice Drillet, le président de Cooperl, le meilleur éleveur serait aujourd’hui à 2,37 d’indice de consommation global ! En engraissement, l’indice de consommation économique moyen est de 2,69, avec une croissance de 827 g/j, pour un poids moyen de 115 kg à 179 jours. L’effet mâle entier influe sur la consommation quotidienne, avec seulement 2,16 kg d’aliment par porc et par jour en engraissement (2,23 kg/j en moyenne en Bretagne). Le taux de muscle par pièces (TMP) se situe à 61,8 en moyenne, pour une plus-value technique de 15,3 centimes/kg et une plus-value globale de 18,3 centimes/kg.

Voir aussi article La production européenne de mâles entiers au milieu du gué.

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