Santé et nutrition
DSM précise les bases de la santé intestinale du porcelet
Fin avril, DSM organisait à Rennes une matinée de débat autour de la santé intestinale du porcelet au sevrage, avec pour invité le professeur John Pluske, de l’université de Murdoch en Australie. Connu pour ses travaux de recherche conduits au Canada, en Nouvelle-Zélande, en Australie, il a passé en revue les connaissances sur le tractus digestif du porcelet, l’importance de la flore digestive (le microbiote) et les changements majeurs qui interviennent au moment du sevrage. Il a complété cette revue par le point sur les relations entre les nutriments, en particulier les protéines et les carbohydrates, la fonctionnalité du tube digestif et les micro-organismes, pathogènes ou non, s’y développant. Sa conférence s’est achevée sur les hypothèses de mode de fonctionnement de l’oxyde de zinc et les « possibles » alternatives à de hauts niveaux de ZnO dans l’aliment de sevrage. En particulier une forme micro-encapsulée qui, avec seulement 100 ppm, aurait une efficacité équivalente à celle des 2 500 ou 3 000 ppm de la forme habituelle.
La matinée s’est achevée sur une présentation des derniers résultats d’essais sur VevoVitall. Daniel Planchenault, responsable technique porc DSM, a décrit les propriétés de cet acide benzoïque, son « mode d’action unique » sur la flore intestinale, l’anatomie du tube digestif, et sa contribution possible dans une démarche de démédication.