Un hommage unanime autour des 22 ans de présidence d’André Bouyssou
Le syndicat des hôteliers-restaurateurs du Cantal a changé de tête : André Bouyssou, son président depuis 22 ans, a cédé la place à Thierry Perbet.
Le passage de témoin s’est fait lundi devant l’assemblée générale des hôteliers-restaurateurs.
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L'Union du Cantal
Les adhérents et les invités de l’assemblée générale du syndicat départemental des hôteliers-restaurateurs étaient tous debout pour longuement applaudir André Bouyssou. Ce n’est évidemment pas un hasard si la grand-messe annuelle des professionnels de l’industrie hôtelière se tenait chez lui, à Vic-sur-Cère. Le maire de la cité -un ami d’enfance- a été un des premiers à rendre hommage à cette figure locale, restée 22 ans à la tête de la fédération des restaurateurs du Cantal. “Tu es une référence !”, lui lance Louis-Jacques Liandier. Selon l’élu, le président Bouyssou restera dans les mémoires celui qui a “secoué le cocotier d’une administration qui compte chaque année davantage de branches” !
Les témoignages se succèdent
Le président de la CCI, Bernard Bouniol, a lui aussi longuement évoqué celui qu’il a côtoyé en qualité d’élu de la Chambre consulaire. Un trophée, spécialement réalisé à son attention, lui a été remis. Même le représentant de la Caisse régionale de Crédit agricole, Alain Coudon, a tenu à remercier André Bouyssou, se souvenant de son soutien alors que -sans expérience préalable- il venait d’entrer comme conseiller financier à l’agence de Vic. Naturellement, les restaurateurs ont également témoigné chaleureusement leur gratitude envers celui qui les a défendus avec force durant toutes ces années.
Thierry Perbet, président
À cet égard, Philippe Vilallon, président des restaurateurs au sein de l’Union nationale des métiers de l’industrie hôtelières a tenu à préciser que grâce à l’action du président Bouyssou, le Cantal était un des départements où le syndicat enregistrait un des plus forts taux d’adhésion : plus d’un professionnel sur deux. Puis à son tour, le président du Conseil général, Vincent Descœur, a salué l’action conduite par M. Bouyssou avant d’encourager le nouveau président. Après un tel flot d’éloges, pas facile de succéder à André Bouyssou a dû penser Thierry Perbet, élu par ses pairs à la tête de la Fédération départementale. Ce lundi 26 mars, le baptême du feu fut pourtant réussi. Le nouveau président a notamment présenté l’état d’avancement des travaux qui se tiennent en commission. Décidé à agir dans la continuité... tout en faisant souffler sur la structure syndicale un vent de modernité.
Les témoignages se succèdent
Le président de la CCI, Bernard Bouniol, a lui aussi longuement évoqué celui qu’il a côtoyé en qualité d’élu de la Chambre consulaire. Un trophée, spécialement réalisé à son attention, lui a été remis. Même le représentant de la Caisse régionale de Crédit agricole, Alain Coudon, a tenu à remercier André Bouyssou, se souvenant de son soutien alors que -sans expérience préalable- il venait d’entrer comme conseiller financier à l’agence de Vic. Naturellement, les restaurateurs ont également témoigné chaleureusement leur gratitude envers celui qui les a défendus avec force durant toutes ces années.
Thierry Perbet, président
À cet égard, Philippe Vilallon, président des restaurateurs au sein de l’Union nationale des métiers de l’industrie hôtelières a tenu à préciser que grâce à l’action du président Bouyssou, le Cantal était un des départements où le syndicat enregistrait un des plus forts taux d’adhésion : plus d’un professionnel sur deux. Puis à son tour, le président du Conseil général, Vincent Descœur, a salué l’action conduite par M. Bouyssou avant d’encourager le nouveau président. Après un tel flot d’éloges, pas facile de succéder à André Bouyssou a dû penser Thierry Perbet, élu par ses pairs à la tête de la Fédération départementale. Ce lundi 26 mars, le baptême du feu fut pourtant réussi. Le nouveau président a notamment présenté l’état d’avancement des travaux qui se tiennent en commission. Décidé à agir dans la continuité... tout en faisant souffler sur la structure syndicale un vent de modernité.