Neuf cuisiniers s’affrontent autour du pot-au-feu salers
Le concours de cuisine organisé par la race salers vient de remettre ses prix.
Fabrice Riéfolo (vainqueur du concours) entouré de Régis Marcon et Michel Tafanel.
©
L'Union du Cantal
Neuf chefs de cuisine ont participé le 25 septembre à l’école Grégoire Ferrandi à Paris au premier concours de cuisine “La salers, l’autre viande” organisé par l’Upra et le herd-book salers. Le premier prix a été remporté par Fabrice Riéfolo, jeune chef installé en Vendée, pour son “pressé de macreuse de salers à la violette de Brive et sa brochette de patate douce”. Les candidats avaient deux heures pour, avec l’aide d’un commis pris parmi les élèves de l’école, cuisiner un morceau jugé difficile par la profession : la macreuse à pot-au-feu.
Morceau imposé
Leurs réalisations ont été jugées par un jury présidé par le chef-cuisinier auvergnat Régis Marcon, et composé d’Eric Coisel (chef du restaurant Prunier à Paris), Michel Tafanel (président de l’Upra salers), Claude Meinier (boucher à Aurillac) et Hugo Desnoyer (boucher à Paris). Le deuxième prix a été attribué à Damien Thuriès (Le Grand Ecuyer à Cordes dans le Tarn), pour ses “croustillants de salers aux épices douces”. Le troisième à Christian Bauer (Maison bourgeoise Monsieur de Rotschild à Paris) pour sa classique “macreuse à la bourgeoise - salade craquante”. Les lauréats ont reçu des mains de Michel Tafanel et Régis Marcon une oeuvre d’art unique, un taureau en bronze sculpté par Hubert de Forges ainsi que de nombreux ouvrages et matériel de cuisine.
Morceau imposé
Leurs réalisations ont été jugées par un jury présidé par le chef-cuisinier auvergnat Régis Marcon, et composé d’Eric Coisel (chef du restaurant Prunier à Paris), Michel Tafanel (président de l’Upra salers), Claude Meinier (boucher à Aurillac) et Hugo Desnoyer (boucher à Paris). Le deuxième prix a été attribué à Damien Thuriès (Le Grand Ecuyer à Cordes dans le Tarn), pour ses “croustillants de salers aux épices douces”. Le troisième à Christian Bauer (Maison bourgeoise Monsieur de Rotschild à Paris) pour sa classique “macreuse à la bourgeoise - salade craquante”. Les lauréats ont reçu des mains de Michel Tafanel et Régis Marcon une oeuvre d’art unique, un taureau en bronze sculpté par Hubert de Forges ainsi que de nombreux ouvrages et matériel de cuisine.