Cultures
Les engrais verts : une culture à part entière !
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On appelle engrais vert un couvert végétal constitué d’une ou plusieurs espèces végétales ou associations d’espèces, de croissance généralement rapide, cultivées non dans le but d’être récoltées, mais pour être incorporées au sol afin d’augmenter sa fertilité.
La culture d’engrais verts à plusieurs intérêts :
- Entretien de la matière organique et structuration du sol avec un apport lors de son enfouissement.
- Fourniture d’éléments fertilisants pour les sols : Les légumineuses ont la capacité de fixer l’azote atmosphérique et ainsi créer de l’azote nouveau. D’autres comme les crucifères ont l’aptitude de piéger les éléments minéraux et de les restituer pour la culture suivante après destruction.
L’action essentielle de ces engrais verts est d’éviter la perte importante d’éléments minéraux par lessivage.
- Lutte contre les adventices : les engrais verts limitent le salissement des parcelles, d’autant plus que leur croissance est rapide et leur pouvoir couvrant important.
- Production fourragère d’appoint : l’engrais vert peut servir de fourrage d’appoint lors d’une situation conjoncturelle (sécheresse, etc.)
Michel Desmidt, CA 19, expert en autonomie alimentaire du PLAAB, intervenant lors de la rencontre technique du jeudi 12 juillet dernier, a insisté sur la nécessité de mettre en œuvre des engrais verts dans le cadre des rotations.
De l’implantation à la destruction, les choix d’espèces à mettre en place doivent être judicieux par rapport aux différents objectifs à atteindre. Ils peuvent être de : nourrir le sol, améliorer la structure, piéger des minéraux, limiter les adventices, rompre les cycles sanitaires, vouloir atteindre des objectifs environnementaux et de biodiversité.
« Il n’existe pas « une solution » mais de nombreuses possibilités » souligne Michel Desmidt, « la réussite de son couvert végétal passe par des choix adaptés à la situation : en fonction de la date de semis, de la durée de l’interculture, du moment de la destruction et des espèces choisies sans oublier la date d’implantation de la culture suivante ».
Pour en savoir plus, une fiche technique est à votre disposition à la Chambre d’agriculture de la Creuse.
La culture d’engrais verts à plusieurs intérêts :
- Entretien de la matière organique et structuration du sol avec un apport lors de son enfouissement.
- Fourniture d’éléments fertilisants pour les sols : Les légumineuses ont la capacité de fixer l’azote atmosphérique et ainsi créer de l’azote nouveau. D’autres comme les crucifères ont l’aptitude de piéger les éléments minéraux et de les restituer pour la culture suivante après destruction.
L’action essentielle de ces engrais verts est d’éviter la perte importante d’éléments minéraux par lessivage.
- Lutte contre les adventices : les engrais verts limitent le salissement des parcelles, d’autant plus que leur croissance est rapide et leur pouvoir couvrant important.
- Production fourragère d’appoint : l’engrais vert peut servir de fourrage d’appoint lors d’une situation conjoncturelle (sécheresse, etc.)
Michel Desmidt, CA 19, expert en autonomie alimentaire du PLAAB, intervenant lors de la rencontre technique du jeudi 12 juillet dernier, a insisté sur la nécessité de mettre en œuvre des engrais verts dans le cadre des rotations.
De l’implantation à la destruction, les choix d’espèces à mettre en place doivent être judicieux par rapport aux différents objectifs à atteindre. Ils peuvent être de : nourrir le sol, améliorer la structure, piéger des minéraux, limiter les adventices, rompre les cycles sanitaires, vouloir atteindre des objectifs environnementaux et de biodiversité.
« Il n’existe pas « une solution » mais de nombreuses possibilités » souligne Michel Desmidt, « la réussite de son couvert végétal passe par des choix adaptés à la situation : en fonction de la date de semis, de la durée de l’interculture, du moment de la destruction et des espèces choisies sans oublier la date d’implantation de la culture suivante ».
Pour en savoir plus, une fiche technique est à votre disposition à la Chambre d’agriculture de la Creuse.