Aller au contenu principal

Les ambitions de Terrena pour ses filières différenciées

D’ici 2025, le groupe coopératif de l’Ouest veut tripler les ventes de sa marque « La Nouvelle agriculture » et doubler celles en bio. Cette année doit voir la mise en service du nouvel abattoir d’Ancenis, spécialisé dans les volailles alternatives.

D’ici 2025, le groupe coopératif de l’Ouest veut tripler les ventes de sa marque « La Nouvelle agriculture » et doubler celles en bio. Cette année doit voir la mise en service du nouvel abattoir d’Ancenis, spécialisé dans les volailles alternatives.
D’ici 2025, le groupe coopératif de l’Ouest veut tripler les ventes de sa marque « La Nouvelle agriculture » et doubler celles en bio. Cette année doit voir la mise en service du nouvel abattoir d’Ancenis, spécialisé dans les volailles alternatives.
© Gabriel Omnès/Illustration

À l’occasion de son assemblée générale le 31 mai, le groupe coopératif Terrena a détaillé les ambitions qu’il nourrit pour ses filières différenciées (bio, signes de qualité, marque « La Nouvelle agriculture »). Après une bonne année 2021, le géant de l’Ouest (5 milliards d’euros de chiffre d’affaires) entend doubler ses ventes de produits bio d’ici 2025, en poursuivant l’accompagnement des conversions et en visant un « développement robuste en cohérence avec les marchés ». Avec 138 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021 (+24 % en un an), Terrena se revendique « première organisation agricole bio en France ». Ces dernières années, la croissance du bio a pu « se faire au détriment du prix », considère Pascal Ballé, membre du bureau de Terrena, pour qui le groupe doit « privilégier la qualité et non le volume ». « Le bio Leclerc au prix du conventionnel, on n’y croit pas », a taclé le président de Terrena, Olivier Chaillou.

Les plus lus

Les associés du Gaec de la Cartalade avec Emmanuel Grange de chez DeLaval devant les 3 robots fraichement installés.
3 robots de traite nouvelle génération pour gagner en souplesse de travail

À Mercoeur, les 5 associés du Gaec de la Cartalade ont fait le choix de traire un troupeau de 150 vaches montbéliardes à…

vaches de races limousines dans un pré.
Aide au vêlage : 200 € par vêlage financés par la Région Auvergne-Rhône-Alpes

Destinée à encourager la recapitalisation du cheptel bovin viande dans la région, cette aide au vêlage ouvrira à partir de…

nombreuses personnes autour d'un robot de traite.
Robot et pâturage : mission possible !

Le robot de traite ne rime pas forcément avec stabulation intégrale. À Vic-sur-Cère, éleveurs et techniciens ont partagé…

“Je veux pouvoir aller aux vaches en baskets !”

Chez les Noyer, à Saint-Martin-Cantalès, on ne lésine pas avec la propreté des vaches, de la stabulation et de la salle de…

vaches charolaises dans un pré.
Provision élevage : Comment les éleveurs peuvent bénéficier de cette mesure fiscale obtenue par le syndicalisme FNSEA-JA ?

La nouvelle provision élevage, déductible du résultat imposable, peut permettre aux éleveurs bovins d’économiser, dans les…

Dissolution de Gaec : quand les associés ne font plus société

Le nombre de dissolutions de Gaec pour cause de mésentente est en légère augmentation. S’ils font parler, ces cas restent…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière