Le tribunal de commerce d’Aurillac, outil de conciliation avant tout
Lors de l’audience solennelle de rentrée du tribunal de commerce d’Aurillac, Roger Brunel a été (ré)installé à la présidence pour un mandat de quatre ans.

Deux nouvelles recrues
Ce constat faisait suite au bilan de l’activité de cette juridiction pendant l’année écoulée. Mais auparavant, Roger Brunel a tenu à saluer l’arrivée de deux nouveaux magistrats au sein de son équipe : Florence Boudou et Marie-Pierre Lours. Elles remplacent respectivement Jean-Louis Belloc et Pierre Boisset. La première est gérante de Cantal BTP ; la seconde d’Eureau Source. “Ce sont deux nouvelles recrues, deux femmes très motivées et qui se sont intégrées avec des prédestinations manifestes. Leurs nouvelles compétences nous serons très utiles”.
"Professionnalisme et rigueur"
Une compétence à laquelle le tribunal de commerce tient beaucoup et dont Nathalie Bany, procureur de la République, a fait l’éloge. “Je ne peux que saluer le travail qui a été fait jusqu’à aujourd’hui et constater le professionnalisme et la rigueur de chacun des juges consulaires, mais également la disponibilité des collaborateurs et du concours qu’ils apportent”. Devant des situations rencontrées souvent difficiles, surtout quand il s’agit d’hommes, de femmes et d’emplois à la clé, le tribunal de commerce peut jouer un rôle majeur. C’est ce qui anime Roger Brunel, engagé depuis maintenant dix ans et élu président en 2004.