Le maraîchage : une alternative de développement
Mercredi 19 février se tenait une réunion d’information, à l’initiative de la chambre d’agriculture de Lozère, sur le « développement des productions végétales en vallée du Lot à destination de la restauration hors domicile ».
Sous l’égide de Christophe Roux, responsable formation, coordonnateur du CEPPP et de l’Afal et en charge de la promotion de l’agriculture et communication ; de Maxime Colomb, conseiller spécialisé en agriculture biologique et Florie-Anne Wiel, conseillère d’entreprise, la réunion a posé les bases du développement du maraîchage en Lozère. Ils étaient soutenus par Étienne Rocheteau, maraîcher installé à Chirac depuis dix ans.
La quinzaine d’agriculteurs présents, éleveurs en quête de diversifications, maraîchers en cours d’installation ou installés et qui sont à la recherche de nouveaux marchés, ont pu poser les bases d’une réflexion qui prend en compte à la fois les moyens de production nécessaire et les différents marchés qui pourraient être prospectés. « C’est un marché à concevoir en soi, ce n’est pas un exutoire », a prévenu Florie-Anne Wiel, dans sa présentation des investissements nécessaires et rendements espérés. Une étude et une évaluation menée suite à un appel à projet de la Draaf sur les enjeux du maraîchage.