La ferme Lozère en chiffres
Le Cerfrance Lozère tenait son assemblée générale, jeudi 15 février, à Mende. L'occasion pour le centre d'économie rurale de dresser un portrait de la « ferme Lozère ».
Habituellement organisée au printemps, l'assemblée générale du Cerfrance Lozère se tenait cette année jeudi 15 février à Mende. Un changement dans les pratiques voulues par les responsables de la structure. « Nous avons choisi, en 2016, de changer la date de clôture de notre exercice comptable pour mieux coller aux exercices du Cerfrance Lozère, confie Patricia Granat, présidente de l'association. L'année du changement est toujours plus compliquée que les autres, mais nous avons réussi à présenter un bilan sur neuf mois. »
Une 61e assemblée générale un peu particulière donc qui a permis aux équipes du centre d'économie rurale de faire son traditionnel bilan de « L'agriculture lozérienne en chiffre et en relief ». Un bilan 2017 prévisionnel, pour l'instant, qui donne pourtant les tendances de la ferme Lozère. « Nous ne pouvons pas avoir tous les chiffres, explique Sandrine Dereumaux, responsable du groupe conseil, au Cerfrance Lozère. Du coup, nous avons basé une partie de notre travail sur des prévisions. »
Les services du Cerfrance ont donc pu dresser un bilan lozérien en divisant leur travail en quatre catégories : bovin lait, bovin viande, ovin lait, ovin viande. « D'une manière générale, l'année 2017 aura été marquée par la sécheresse qui a entraîné une perte de 30 % des stocks fourragers, explique Sandrine Dereumaux. L'indice Ipampa est, quant à lui en légère augmentation, entre 1 et 1,5 % entre 2016 et 2017 sur ces quatre filières. »
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1448, du 22 février 2018, en page 3.