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Viande
Interbev, le porte parole de la filière bétail et viande

La consommation de viande s’érode d’année en année en France, mais pas à l’étranger. Interbev a pour mission de communiquer et de transmettre les effets positifs de la viande.

Marc Pagès, directeur général adjoint d'Interbev à Paris, dans son bureau.
Marc Pagès, directeur général adjoint d'Interbev à Paris, dans son bureau.
© Emilie Wood

Agriculteurs, bouchers de quartiers, abatteurs : Interbev est une société interprofessionnelle au capital de 40 million d’euros représentant la filière bétail et viande. Depuis sa création en 1979, elle a pour mission de concilier les treize organisations membres (éleveurs, abatteurs, distributeurs) afin de déterminer ensemble les points sur lesquels ils doivent travailler. La viande bovine, ovine, équine et la triperie y sont ici représentées.

La communication, la publicité, le lobbying : 80 % du budget d’Interbev y est consacré. Que ce soit auprès des politiques pour que les régulations françaises et européennes soient plus clémentes à la production, ou par des campagnes publicitaires au service de l’agneau, du veau, du bœuf, ou encore par des interventions dans les écoles ou même par le biais de la création d’un manga pour sensibiliser les adolescents aux bienfaits de l’élevage, tous les moyens sont bons pour convaincre les français de manger davantage de viande.

Marc Pagès, directeur général adjoint à Paris d’Interbev, a répondu à quelques questions.

Vous connaissez bien la Lozère, pourriez-vous nous parler de vos liens avec notre département ?

J’ai des liens très forts avec ce département qui est celui où j’ai passé le plus clair de mon enfance. Mes deux parents sont Lozériens. J’ai grandi à Saint-Chély-d’Apcher. J’essaye d’aller en Lozère au moins deux fois par an.

Suite à lire dans le Réveil Lozère n°1225 du 19 septembre 2013, en page 5.

 

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