Des contrastes dans une situation globalement positive pour ce printemps
L’économie française tourne un peu au ralenti sur fond de fondamentaux solides.
L’économie de la France en particulier, et celle du monde en général, va mieux. Les énormes et potentielles difficultés semblent résolument écartées. Ce qui ne signifie en rien que tout va bien dans le meilleur des mondes.
Des éléments négatifs ou porteurs d’interrogations surgissent ça et là à travers le monde et ceci ne favorise pas la croissance économique et le moral des entreprises et des ménages. Aux frictions commerciales globales (mais avec des implications sur certaines productions agricoles) entre la Chine et les États-Unis s’ajoutent les incertitudes météorologiques des Amériques pour le secteur de l’agriculture.
Du coup, même si la croissance économique est positive pour ce premier trimestre et en passe d’afficher une bonne performance pour le deuxième, l’impression générale se résume plutôt à « aurait pu mieux faire ». La grogne est là, en France, témoin les grèves à répétition dans différents secteurs et la hausse des prélèvements de type CSG, taxe sur les carburants n’arrangent rien. Et ce n’est pas les baisses de certaines cotisations étalées dans l’année (chômage, maladie) qui remontent le moral.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1459, du 10 mai 2018, en page 8.