Des clés pour réduire, récupérer, produire
L’Idele a édité en 2016 un guide qui conceptualise la ferme d’élevage à énergie positive. Economie, production, potentiel, investissement…Si le champ d’investigation est large, certaines préconisations demeurent à la portée de chacun.
On connaissait la maison passive en développement depuis quelques années. En agriculture, les initiatives se multiplient également pour tendre vers l’optimisation énergétique. L’an dernier, l’Idele en partenariat avec la Confédération nationale de l’élevage (CNE) a compilé les références en faveur de la ferme d’élevage à énergie positive, à travers un ouvrage dédié*. L’institut a d’ailleurs profité du dernier Sommet de l’élevage pour communiquer sur cette thématique, qui intéresse de plus en plus d’éleveurs. De quels leviers de progression les éleveurs disposent-ils pour réduire leur consommation d’énergie ? Quel potentiel d’autonomie la production d’énergie à la ferme permet-elle d’atteindre pour les élevages bovins et ovins ? Quels sont les avantages et limites des différentes techniques de production d’énergie ? Autant de questions sur lesquelles s’est penchée l’Idele. Une exploitation d’élevage à énergie positive peut être définie comme étant une ferme qui produit plus d’énergie qu’elle n’en consomme. Le chemin vers l’autonomie énergétique comporte trois étapes (réduire, récupérer, produire).
Suite de l'article et du dossier à lire dans le Réveil Lozère n°1412, du 1er juin 2017, en pages 10 et 11.