Avec 84 000 visiteurs, le Sommet de l’élevage 2014 bat des records !

C’est par une belle journée ensoleillée et sur la satisfaction des organisateurs que s’est achevé le Sommet de l’élevage. Professionnel, international et convivial seront une fois de plus les maîtres-mots de cette 23e édition.
Jacques Chazalet, nouveau président du Sommet de l’élevage ne cache pas sa joie : « nous sommes très satisfaits car malgré un contexte économique tendu, cette édition est une réussite à tous points de vue. Avec 84 000 visiteurs professionnels accueillis dont 4 000 étrangers, le Sommet 2014 s’inscrit dans la continuité et renforce sa position de carrefour d’affaires stratégiques du monde de l’élevage en Europe et bien au-delà. Les 1 302 exposants et l’ensemble des éleveurs sélectionneurs présents sont satisfaits des contacts réalisés. Quant au rendez-vous politique, il a été particulièrement intense avec la venue de Stéphane Le Foll, Ministre de l’agriculture et la présence de nombreux leaders politiques dans les allées ». Roger Blanc, Président fondateur du salon est lui aussi ravi : « Cette édition s’avère un grand cru et la convivialité qui règne sur l’événement est toujours aussi exceptionnelle ».
L’Aubrac au Sommet !
6 ans après le formidable succès rencontré lors de l’édition 2008, le concours national Aubrac organisé dans le cadre du Sommet de l’élevage 2014 a remporté un franc succès. 120 éleveurs ont participé à ce rendez-vous incontournable qui a permis de présenter les spécificités de la race auprès des professionnels français et internationaux.
Pour Henry Peyrac, président de l’UPRA Aubrac, l’événement est une vraie réussite pour toute la filière : « Nous sommes pleinement satisfaits. Nos éleveurs sont fiers d’avoir pu montrer leur savoir-faire, présenter des animaux de haute valeur génétique et prouver qu’il est possible d’obtenir des animaux performants en travaillant sur des territoires difficiles. Le Sommet nous conforte dans notre démarche de qualité au quotidien et laisse augurer de belles perspectives pour la suite. Outre les nombreux éleveurs français intéressés par la race que nous avons pu rencontrer durant les 3 jours, nous avons pu établir des contacts stratégiques avec plusieurs pays ».
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La suite est à lire dans la Creuse agricole et rurale du 10 octobre 2014.