[VIDEO] La chenillette pour vignes de Rotair passe partout
Dimitri Michel, vigneron à Villers-aux-Bois, dans la Marne, effectue la majeure partie de ses travaux viticoles à l'aide d'une chenillette Rotair de 24 ch.
Dimitri Michel, vigneron à Villers-aux-Bois, dans la Marne, effectue la majeure partie de ses travaux viticoles à l'aide d'une chenillette Rotair de 24 ch.
Limiter les tassements du sol, l'érosion et le ravinage ; tel est le principal argument ayant poussé Dimitri Michel, vigneron à Villers-aux-Bois, dans la Marne, à acquérir une chenillette Rotair il y a trois ans. Il faut dire que l'engin ne pèse que 400 kg à vide, ce qui n'a guère d'impact sur les sols.
Mais ce n'est pas le seul intérêt de l'outil, loin s'en faut. Dimitri Michel apprécie également la présence de la plateforme, qui évite d'avoir à marcher derrière l'appareil, contrairement à ses autres chenillettes. Cela diminue la fatigue. « C'est aussi un engin compact, maniable, et facile à transporter », se réjouit le viticulteur. Un atout de poids pour cet exploitant et son épouse, qui travaillent sur neuf communes, parfois éloignées de plus de 40 km ! Le morcellement des parcelles et leur topographie favorisent le travail à la chenillette : « déplacer un enjambeur sur 45 km prend trop de temps, ou nécessite un camion avec plateforme, pointe Dimitri Michel. Là, il n'y a qu'à ranger la chenillette déjà attelée dans le petit camion Renault, et le tour est joué.»
À l'aise jusqu'à 35 % de pente
Autre atout, le Rotair est à l'aise tant sur les parcelles planes qu'en dévers. Or certaines vignes du domaine font jusqu'à 35 % de pente. Enfin, d'une largeur hors tout de 65 cm, il se faufile sans souci dans tous les rangs du domaine, qu'ils soient à 1 m, 1,10 m ou 1,30 m de large.