Tests de détection du glyphosate dans les urines : une mise en perspective à « pisser de rire »
Elisa, test chromatographique : deux méthodes différentes pour détecter la présence de glyphosate dans les urines, qui conduisent à des résultats divergents et des « pisseurs » qui s’opposent. La FRSEA Bretagne a expliqué le 16 février pourquoi elle contestait les résultats mis en avant par les associations environnementales. Sur les réseaux sociaux, le sujet est remis en perspective à la sauce Bruno Cardot. Drôle.
Elisa, test chromatographique : deux méthodes différentes pour détecter la présence de glyphosate dans les urines, qui conduisent à des résultats divergents et des « pisseurs » qui s’opposent. La FRSEA Bretagne a expliqué le 16 février pourquoi elle contestait les résultats mis en avant par les associations environnementales. Sur les réseaux sociaux, le sujet est remis en perspective à la sauce Bruno Cardot. Drôle.

Lors d’une conférence de presse le 16 février, la FRSEA Bretagne a contesté la validité des analyses réalisées par les associations environnementales pour détecter le taux de glyphosate présent dans les urines de personnes s’étant portées volontaires pour ce test. Elisa, la méthode utilisée, ne serait pas fiable puisque initialement conçue pour l’eau. D’où les différences de résultats observées avec le test par chromatographie.
Les explications du professeur Relou
Le discours est sérieux et le sujet important. Mais on beau être agriculteur, utiliser du glyphosate et estimer que la matière active est utile à l’agriculture, on peut malgré tout prendre le parti d’en rire. C’est ce qu’a fait Bruno Cardot, agriculteur désormais bien connu sur les réseaux sociaux. Sa vidéo, grâce notamment aux explications du Professeur Relou, aborde la controverse du glyphosate dans les urines dans un style à « pisser de rire ».