Aller au contenu principal

Le jeu sérieux des associations céréales-légumineuses

Le jeu sérieux Interplay propose d’explorer des scénarios d’association céréales-légumineuses au cours d’une partie de jeu de deux ou trois heures. Quatre à huit joueurs réfléchissent ensemble à l’association et l’itinéraire technique les plus adaptés pour remplir les objectifs définis par l’agriculteur (rendement, apport d’azote, structure du sol, gestion des ravageurs, maladies et adventices, …). « Il faut aussi prendre en compte les propriétés de la parcelle, les contraintes de l’exploitation et les problématiques des filières », expliquent Clémentine Meunier et Guillaume Martin de l’Inrae, codéveloppeurs du jeu avec Blandine Rosiès et Marion Casagrande de l’Itab dans le cadre du projet européen ReMIX. Les services fournis par l’association choisie sont ensuite évalués par un modèle informatique. Au-delà du modèle développé, ce sont les échanges entre joueurs, encadrés par un animateur, qui sont au cœur du jeu.

« Le jeu est applicable aux différents pédoclimats français et aux exploitations en conventionnel bas intrant ou agriculture biologique », explique Clémentine Meunier. Il s’adresse aux agriculteurs mais également aux étudiants dans une version adaptée. Il a été construit comme support pour une première approche des associations céréales-légumineuses. Le jeu est disponible gratuitement auprès de l’équipe Interplay.

Les plus lus

Agneaux à l'engraissement en Afrique du Sud
De l’intérêt des levures dans la ration des brebis et des agneaux
Le fabricant de levures Lallemand présentait une série d’études confirmant l’intérêt de l’ajout de levures vivantes dans la…
<em class="placeholder">Mathilde Poulet</em>
« Je travaille comme technico-commerciale avant de m’installer en élevage ovin »
Prendre son temps pour construire un projet viable et profiter de l’expérience du terrain en amont, voilà les objectifs de…
<em class="placeholder">Florent et Charles Souyris et Philippe Galtier, Gaec de Cuzomes</em>
Aveyron - « Nous avons investi pour travailler 35 heures par semaine dans notre élevage ovin »
Dans l’Aveyron, les trois associés du Gaec de Cuzomes montrent comment ils ont optimisé la productivité du travail et la…
Manon Fleuroux élève un troupeau de 60 brebis
« Nous devons nous réapproprier la mort de nos animaux »
Manon Fleuroux élève un troupeau de 60 brebis à Montréal dans l’Aude et est engagée dans la création d’un abattoir mobile. Suivie…
Samuel Bulot, président de l’Institut de l’élevage.
« L’Institut de l’élevage doit venir dans les cours des fermes »
Samuel Bulot a été élu président de l’Institut de l’élevage le 13 juin. Éleveur laitier bio en Côte-d’Or, il mesure l’…
Ludovic Gilbert et Théo Haller
"Reprendre la ferme de papy, du rêve à la réalité"
Depuis son enfance, Théo Haller a rêvé de reprendre l’exploitation de son grand-père maternel décédé lorsqu’il avait dix ans,…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 90€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir Pâtre
Consultez les revues Réussir Pâtre au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter Réussir Pâtre