[Contenu partenaire] Valorisateurs de fourrages : « une assurance pour la production laitière »
Gaëtan Dheu, installé en Haute-Marne, produit du lait en AOC brie de Meaux. Son tank est régulièrement contrôlé. Afin de répondre aux exigences de l’appellation, l’éleveur insiste sur la qualité de la ration des vaches et s’appuie sur les valorisateurs de fourrages proposés par Sanders.
Gaëtan Dheu, installé en Haute-Marne, produit du lait en AOC brie de Meaux. Son tank est régulièrement contrôlé. Afin de répondre aux exigences de l’appellation, l’éleveur insiste sur la qualité de la ration des vaches et s’appuie sur les valorisateurs de fourrages proposés par Sanders.
Salmonelle, listeria, streptocoque, Escherichia coli, ou staphylocoque : le cahier des charges de l’AOP brie de Meaux est strict. Mais, la qualité paye. Le non-respect des critères de l’appellation provoque une pénalité de 50 euros pour 1 000 litres. Jusqu’à quatre échantillons sont prélevés chaque mois. "Je suis donc très attentif à la qualité de conservation de mes fourrages. Je dois proposer, à mes vaches, des ensilages les plus stables possibles", explique Gaëtan Dheu.
Silo : 28 mètres de front d’attaque à maintenir frais
Le cahier des charges impose également une alimentation diversifiée. Quatre silos, pour le maïs, l’herbe, la pulpe de betterave et la luzerne, sont donc ouverts en permanence. Soit 28 mètres de front d’attaque. "J’ai généralisé l’incorporation de valorisateurs Sanders. Je n’en mettais pas sur les silos destinés aux génisses, et j’observais plus de perte", indique l’éleveur. Autre motivation, les sécheresses se multiplient et les ensilages sont désormais programmés en septembre. Gaëtan Dheu détaille : "On ensile parfois en pleine canicule et le maïs monte à 45 °C. Nous pouvons privilégier l’amidon lors de l’ensilage de maïs, car les valorisateurs de fourrages compensent le manque de sucre nécessaire à une bonne conservation. Les bactéries favorisent la chute du pH de l’ensilage".
Une distribution toutes les 36 heures
L’utilisation des valorisateurs de fourrages Sanders s’inscrit également dans une logique d’optimisation du temps de travail. La distribution est effectuée toutes les 36 heures pour le lot des vaches moins productives. « Pour gagner du temps le dimanche matin, je prépare le bol la veille au soir, même sur les bêtes les plus productives. Les valorisateurs me permettent donc de limiter la reprise de fermentation », précise l’éleveur.
Des valorisateurs et de la rigueur pour réaliser les silos
"Je considère que vu l’investissement que je mets dans mes champs (en intrants, en semences, etc. …) ce serait dommage de ne pas aller au bout des choses pour m’assurer de valoriser mes fourrages au mieux." Gaëtan Dheu ne doute pas des conservateurs Sanders mais rappelle que "leur efficacité dépend aussi du soin apporté à la réalisation du silo, avec un bon tassage et l’utilisation de bâches neuves".
AVIS D'EXPERT
« Une économie de 22 €/T de MS »
Quels gains peut-on espérer avec un valorisateur de fourrages ?
Avec un valorisateur, les pertes visibles passent 5% à 0% et les pertes invisibles (gaz, valeurs alimentaires) de 15% à 5%. Ces gains permettent une économie de 22 €/T de MS de maïs. Pour un euro investi, l’éleveur gagne donc deux à trois euros.
Comment fonctionnent ces valorisateurs ?
Les valorisateurs de fourrage sont des solutions naturelles à base de bactéries ou d’associations de bactéries. Elles permettent de maîtriser les différentes phases d’ensilages :
aérobie, transition, fermentation acide, phase de stabilisation. Nous avons plusieurs produits adaptés aux différents fourrages et objectifs de l’éleveur. Un des valorisateurs est agréé en agriculture biologique.
Au moment du choix du valorisateur, quelles questions doit se poser l’éleveur ?
C’est un choix qui ne s’improvise pas. Les techniciens Sanders accompagnent la réflexion. Nous posons plusieurs questions à l’éleveur. Pour quel type de fourrage ? À quelle date est programmée l’ouverture du silo ? Quel est le stade de récolte ou le degré de maturité souhaité pour l’ensilage ?
Comment se déroule l’accompagnement des équipes Sanders ?
Dans un premier temps, nous réalisons un diagnostic des pratiques des éleveurs et une analyse de la conservation de leur silo actuel avec la méthode Valorscreen. Ensuite, nous proposons des conseils pour la réalisation du chantier. Enfin, nous analysons la conservation et valeurs alimentaires du nouveau silo.